Des produits laitiers non certifiés en circulation au Cameroun
Les aliments lactés vendus sur le marché ne sont pas reconnus par l’Anor.
Agriculture: la tomate en conserve, chasse gardée de l’importation au Cameroun
Depuis la fermeture de la Société des conserveries alimentaires du Noun, le Cameroun est dépendant de l’importation. Pourtant le pays dispose d’un potentiel de production de tomate qui n’est pas exploité.
Collecte de déchets plastiques: entre désir de conformité et obstacles au processus
Plusieurs acteurs de la gestion des déchets au Cameroun ont encore du mal à s’acquitter du permis environnemental de plus de 10 millions de FCFA exigé par le gouvernement pour exercer cette activité.
Découverte: trois étudiants inventent la machine à éplucher les pommes
Ils envisagent mettre en place un modèle destiné aux ménages.
Hydrocarbures : Les vraies raisons de l’augmentation des prix au Cameroun
La production de la Sonara est devenue insuffisante pour satisfaire la demande nationale, et l’entreprise ne dispose plus d’une trésorerie solide.
23 mars 2016
Jean Pierre Imele : « Il faut accorder à l’agriculture biologique toute la place qu’elle mérite au Cameroun »
Le financement; un frein au développement de la culture Bio au Cameroun
Les banques en dépit de leur surliquidité (qui a augmenté de près 1000 milliards de Fcfa en 2013) sont accusées par des producteurs de produits biologiques de ne pas suffisamment faire des prêts.
Plusieurs agriculteurs bio financent leurs activités avec des fonds personnels, d’autres, par contre, font donc appel aux Ongs internationales et à des bailleurs de fonds étrangers ou des clients étrangers pour leur venir en aide financièrement. C’est le cas du Gic Espérance de Njombé qui est soutenu par l’Ong le Relufa et ses partenaires étrangers.
En 23 ans d’activité la société Biotropical, par exemple a réussi à avoir pour la première depuis son existence, un prêt de 186 millions de Fcfa accordé par la SGBC, le biais de la garantie Arise ; un service de cette banque. Le titre foncier de l’entreprise avait été mis en garanti.
Toutefois, les agriculteurs biologiques n’ayant pas de solution nationale de financement, quelques uns ont donc recouru à une solution panafricaine de financement dénommé le CEDEXA, instrument de financement panafricain, qui sert de garantie pour les agriculteurs qui souhaiteraient prêter de l’argent aux établissements bancaires conventionnels pour pouvoir garantir leur prêt.